As recent posts may have hinted, no one loved a good ethnic generalisation more than Emil Cioran. And, sometimes as a direct corollary, no one loved an auto-revisionist hand break turn more either. I've mentioned the Jewish and Hungarian examples before, but here's another.
Writing on Beckett in Exercises d’admiration, he claims:
Il est important et il n’est pas important du tout que Beckett soit Irlandais. Ce qui est sûrement faux, c’est de soutenir qu’il est le “type même de l’Anglo-Saxon”. Rien en tout cas ne saurait lui déplaire davantage. Est-ce le mauvais souvenir qu’il garde de son séjour d’avant-guerre à Londres? Je le soupçonne de taxer les Anglais de “vulgaires”.
In this morning’s post came, at last, my copy of the Gallimard Œuvres (dig that ligature), and in among various goodies I didn’t have before, such as Le livre des leurres and Le crépuscule des pensées was a glossaire, a Cioran A-Z, under which we find the following entry for Beckett, as reported in conversation with Gabriel Liiceanu in 1990:
Il était resté intégralement anglo-saxon, et cela me plaisait terriblement. Il ne fréquentait les cocktails, se sentait mal à l’aise en société, il n’avait pas de “conversation” comme on dit. Il n’aimait parler qu’en tête à tête, et il avait alors un charme extraordinaire.
Anglo-Saxon? To be fair he did lose his mind in his last years, to Dr Alzheimer's sempiternal penumbra, misdiagnosed Anglo-Saxondom being one of the telltale early warning signs.
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